E-santé : L’essor des serious games

En mars, c’était Borntobealive sur la maternité ; en avril, Bipolife pour la psychiatrie ; en mai, Az@game relevait de la gériatrie et, en juin, IRIS&Co traitait du handicap visuel. Les serious games, ces jeux interactifs à vocation pédagogique, fleurissent dans le domaine de la santé. Avec une véritable valeur ajoutée pour le grand public ou les patients ?
Une offre e-santé pléthorique ?
Un programme virtuel pour se préparer à l’accouchement élaboré, entre autres, par la très sérieuse université Paris V-René Descartes. BornToBeAlive permet aux futurs parents de tester leurs connaissances sur la grossesse,l’accouchement et la prise en charge initiale du nouveau-né.
Lauréat du prix « Santé et Autonomie sur le lieu de vie grâce au numérique », le projet Az@GAME propose, lui, des outils de mesure de lamaladie d’Alzheimer à utiliser aussi bien à domicile qu’en institution. En plus de la version grand public, une version « patients » conçue avec des équipes médicales du CHU de Nice existe, qui permet de stimuler les malades avec les exercices physiques et cognitifs adaptés.
L’avenir de l’éducation thérapeutique ?
A travers ces deux exemples, on peut toucher du doigt les deux grands enjeux des serious games en santé : d’un côté, l’éducation à la santé c’est-à-dire la prévention. De l’autre, l’éducation thérapeutique. Les serious games peuvent donc être utilisé soit chez soi, soit au cours d’un parcours de soin.
Hôpitaux et serious games
Sur la question de l’hôpital, les jeux sérieux, comme on dit, se font plus rares. On peut néanmoins citer Ludomedic, une plate-forme de jeux accessible en ligne, qui prépare les enfants de 6 à 14 ans et leurs parents à une hospitalisation.
Commentaires 2 réactions
01/05/2021 11:49
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09/06/2021 21:57
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