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Actualités 08/10/2013

Applis à usage médical : des Français majoritairement favorables

Jeunes consultant une appli médicale
[Hôpital.fr] Les Français sont, en grande majorité, favorables aux nouvelles technologies en matière de santé ou de médecine. En effet, d’après le récent sondage mené par l’institut Viavoice pour le groupe Pasteur Mutualité*, 56 % d’entre eux voient dans celles-ci un progrès pour la médecine.

Aujourd’hui, la santé devient de plus en plus mobile et connectée. Les applications à usage médical permettent aux professionnels de santé d’effectuer des examens, de poser des diagnostics ou encore de partager à distance des données avec leurs patients.

Force est de constater que le développement de ces « applis médicales » comme on les appelle, n’effraie pas les Français mais, au contraire, leur plaît. Ils considèrent que, dans un premier temps tout du moins, la relation traditionnelle médecin-patient n’en sera pas bouleversée.

Que des bénéfices ?

57 % des Français estiment même que le développement de ces applications peut favoriser l’auto-surveillance et l’automédication. Avec l’accord de leur médecin, les patients pourraient ainsi modifier leur comportement en matière d’hygiène de vie et améliorer de ce fait leur état de santé sans aller nécessairement consulter.

De plus, cette évolution permettrait de nombreuses améliorations en matière de santé publique : gain de temps pour le patient comme pour le professionnel, réponse à la problématique de la désertification médicale, amélioration des soins et prévention personnalisée, etc.

En complétant les outils de diagnostic et de suivi, les applis à usage mixte contribueraient également à la réduction des dépenses de santé, ce qui n’est pas négligeable en temps de crise.

Pour en savoir plus, consultez notre dossier « Télémédecine »  

* Le sondage « L’opinion des Français sur les applications à usage médical sur Smartphone » a été réalisé à partir d’un échantillon de 1007 personnes représentatives de la population française âgée de 18 ans et plus qui ont été interrogées les 5 et 6 septembre 2013 par téléphone.

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