Réalisée sous forme de regard croisé, cette enquête significative marque l’évolution de la relation patients-soignants qui tend à devenir une «  de nature partenariale » et à être fondée sur l’empathie.

Dans l’étude, patients et soignants s’accordent à souligner l’importance d’une bonne communication, garante d’une bonne relation.

Une relation (privilégiée) de qualité

• 99 % des soignants et 94 % des patients qualifient de « bonne » la relation qu’ils entretiennent ensemble ;
• Considérée comme « fondement » de cette entente, la communication relève d’une dimension prioritaire pour 98% des patients et pour 97 % des soignants ;
• Ce dialogue passe également par l’intégration du patient dans le parcours de soin. Si 85 % des soignants jugent leurs patients actifs dans la relation de communication seuls 77 % des patients se sentent réellement actifs ;
• L’écoute, le respect, la confiance et l’empathie sont autant de valeurs qui ont été unanimement listées par les deux parties lors de cette enquête.

« L’ensemble de cette étude sur la relation patient-soignant  nous montre une adéquation globalement congruente entre le ressenti et les attentes d’un côté comme de l’autre, même si dans le détail quelques divergences apparaissent et qu’il convient donc de rester vigilants sur les évolutions de cette relation »,a d’ailleurs conclu Yves Cottret, le délégué général de la Fondation MACSF.

* Etude réalisée par Harris Interactive pour la Fondation MACSF auprès d’un échantillon de 1000 personnes de la population française et de 500 professionnels de santé.