Dépistage du cancer du col de l’utérus : à l’hôpital aussi
En France, le cancer du col de l’utérus pourrait quasiment être éliminé grâce au frottis (90 % de ces cancers pourraient être éliminés par ce moyen de dépistage) et à la vaccination contre le virus HPV. D’où l’importance de la sensibilisation et ce d’autant que le dépistage par frottis relève, aujourd’hui, majoritairement d’une démarche individuelle fortement liée au suivi gynécologique.
L'hôpital, lieu de dépistage
Dans ce cadre, l’Inca rappelle, dans un communiqué, qu’ « un frottis peut être réalisé par le médecin traitant, le gynécologique ou une sage-femme, en milieu libérale, à l’hôpital, dans un centre de santé, dans un centre de planification ou d’éducation familiale, ou, sur prescription, dans certains laboratoire d’analyse de biologie médicale ». On rappelle que le frottis est un prélèvement par léger frottement de cellules du col de l'utérus afin de les examiner au microscope.
L’Inca rappelle aussi que le frottis est recommandé tous les trois ans et jusqu’à 65 ans. Ce dépistage permet de diagnostique des lésions précancéreuses et cancéreuses du col et de soigner plus précocement – voir d’éviter – ce type de cancer.
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